La communication est l’outil le plus important dont dispose l’être humain pour interagir les uns avec les autres. Une communication efficace est nécessaire pour apprendre, réussir en affaires et établir de bonnes relations avec les autres dans les relations personnelles. De nombreux facteurs sociaux et troubles sociaux peuvent modifier les styles de communication et les préférences. Beaucoup de ces facteurs affectent inconsciemment le locuteur.
Sommaire de cette fiche pratique
Normes culturelles
Les normes culturelles jouent un rôle important dans la communication. Différentes cultures peuvent avoir des modes de communication très différents et s’engager dans des coutumes étrangères lorsqu’il s’agit de communication. Par exemple, dans certaines cultures, les femmes peuvent ne pas être autorisées à parler à moins qu’on ne leur parle. Dans les pays occidentaux, un tel concept est tout à fait absurde, mais une femme qui a grandi avec cette coutume et qui vit maintenant en Occident peut encore en être affectée. Cette femme peut alors être jugée timide ou désintéressée parce qu’elle choisit de ne pas parler.
Troubles de la timidité et de l’anxiété
L’auditoire, la forme de communication et le cadre ont un impact sur le type de communication qui sera livré. Les personnes souffrant de troubles anxieux, comme la timidité, peuvent être parfaitement à l’aise de parler à des amis proches à la maison, mais peuvent trouver atroce de parler à un membre du sexe opposé dans un lieu public comme un bar. La gravité et l’ampleur du trouble varient d’une personne à l’autre.
L’estime de soi et l’ego
L’estime de soi et l’ego ont beaucoup à voir avec la communication verbale. Une personne ayant une faible estime de soi peut trouver difficile d’exprimer son opinion ou sentir qu’elle n’est pas digne de parler. Au contraire, quelqu’un avec un ego gonflé peut trouver très facile de dominer la conversation et même d’offenser les autres avec leur domination.
Les normes sociales jouent également un rôle important dans la communication verbale. Le cadre, le contexte et les personnes qui communiquent aident à dicter ce qui est considéré comme une conversation appropriée. Par exemple, deux amants peuvent trouver acceptable de professer leur amour l’un pour l’autre en privé, mais peuvent ne pas vouloir le faire en public. Certains sujets peuvent être acceptables dans un cercle et non dans un autre. Par exemple, discuter de questions de santé au sein d’un groupe de professionnels de la santé peut être acceptable, mais cette même discussion peut ne pas être acceptable lors d’un gala politique en cravate noire.
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