Les travailleurs de soutien s’efforcent d’avoir un impact positif sur la vie des familles en intervenant et en les soutenant pendant les périodes de traumatisme personnel et de conflit. Le rôle d’un travailleur de soutien est extrêmement exigeant, car il exige des candidats qu’ils maintiennent une attitude non critique et qu’ils forgent des relations, souvent dans les cas où il y a de la violence physique et mentale. La patience, la capacité à rester calme sous pression et une excellente capacité d’écoute sont des compétences essentielles pour ce rôle.

Expérience

Les employeurs n’embauchent généralement pas de candidats sans expérience avérée dans le domaine du travail de soutien et des qualifications académiques pertinentes au poste. L’expérience est généralement acquise grâce au travail bénévole avec les enfants, les adolescents et les parents. Une telle expérience peut être basée dans divers milieux, y compris les centres de probation, les établissements de santé mentale, les projets pour les jeunes, les crèches et les foyers d’accueil.

Qualifications

Les études académiques peuvent également augmenter vos chances d’obtenir un poste dans le domaine du travail de soutien. Les qualifications pertinentes comprennent un diplôme en soins de santé et services sociaux, un diplôme pour les enfants et la main-d’œuvre des jeunes et un diplôme en soins de santé et services sociaux. Une qualification de niveau 3 dans l’une ou l’autre de ces matières est habituellement une exigence, bien que certains employeurs puissent accepter des candidats de niveau 2 ayant une vaste expérience.

Études complémentaires

Les qualifications de niveau de soutien supérieur comprennent un diplôme d’études supérieures en counseling ou un diplôme en travail social. En plus des qualifications académiques et de l’expérience, tous les candidats doivent également réussir une vérification des Services de divulgation et d’interdiction (SRD). Les vérifications du SRD examinent les antécédents des candidats pour des mises en garde ou des condamnations civiles ou criminelles antérieures qui peuvent indiquer un facteur de risque d’accepter un travail de soutien.

Développement

Une fois nommé à un poste de travailleur de soutien, vous recevrez une formation dans divers domaines, y compris la protection de l’enfance, la santé et la sécurité et l’orientation des politiques juridiques. Les travailleurs nommés peuvent également continuer à se développer en entreprenant des études à temps partiel pour une fondation ou un HND (diplôme national supérieur) dans le domaine du soutien à la famille ou pour obtenir un diplôme complet en travail social. Ceux qui sont déjà titulaires d’un diplôme peuvent étudier en vue de l’obtention d’un diplôme de troisième cycle.

Heures et conditions

Les travailleurs de soutien travaillent habituellement une semaine normale de 37 heures, avec partage d’emploi et des postes à temps partiel souvent disponibles. Les postes qui travaillent avec des écoliers peuvent nécessiter un travail le soir et la fin de semaine pour travailler pendant les heures d’école. Les placements comprennent souvent des séances prévues dans les foyers familiaux, combinées à du travail de bureau pour prendre des notes et assister à des réunions avec d’autres travailleurs de soutien. Selon le site Web du National Careers Service, les salaires des travailleurs de soutien commencent à environ 18 000 € mais peuvent atteindre 35 000 € avec une vaste expérience.

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