La théorie de l’apprentissage social affirme que les gens apprennent des autres par l’interaction sociale, l’imitation et la modélisation. La théorie de l’apprentissage social affirme que l’apprentissage exige un contexte social. La théorie de l’apprentissage comportemental, en revanche, soutient que l’apprentissage des élèves se produit lorsqu’un stimulus favorise un changement de comportement chez l’élève.
Théories/Spéculation
Albert Bandura est considéré comme le principal théoricien de la théorie de l’apprentissage social, et B.F. Skinner est considéré comme le père de l’école comportementaliste. La théorie de l’apprentissage comportementaliste met l’accent sur les récompenses et les punitions et sur la façon dont ces paramètres modifient le comportement au fil du temps. De plus, l’école de pensée comportementaliste se concentre sur le rôle des figures d’autorité telles que les enseignants et les directeurs d’école dans la mise en place des conditions d’un apprentissage réussi.
Cependant, la théorie de l’apprentissage social diffère de la théorie comportementale en incluant la motivation intrinsèque, c’est-à-dire que chaque individu veut réussir. La théorie de l’apprentissage social, cependant, établit une comparaison avec l’école comportementaliste en appariant des paramètres comportementaux ou une motivation extrinsèque, comme l’admission des notes et des éloges, afin d’influencer la motivation innée chez l’élève.
Application
Les enseignants qui appliquent la théorie de l’apprentissage social en classe permettent aux élèves de faire des choix (motivation intrinsèque) mais aussi d’inclure des règles (motivation extrinsèque) pour les guider dans leur choix. Par exemple, les élèves reçoivent plusieurs devoirs optionnels, comme un rapport de livre, un collage ou un poème, de sorte qu’ils peuvent choisir un devoir compatible avec leur style d’apprentissage. La motivation externe, comme les notes, reste immuable.
L’école comportementale d’apprentissage, par contre, n’inclut que la motivation extrinsèque et ignore le choix de l’élève. Par exemple, les enseignants appliquent des approches comportementales lorsqu’ils enseignent des exercices de mathématiques. Les enseignants décomposent un problème de mathématiques en étapes plus petites, et l’élève passe à l’étape suivante jusqu’à ce qu’il maîtrise la compétence particulière.
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