« Gramophone » est un terme qui peut être utilisé pour désigner n’importe quel tourne-disque (tout comme le terme « phonographe »). En général, cependant, le terme est utilisé pour désigner les premiers tourne-disques qui étaient pilotés par des moyens mécaniques et reproduisaient le son sans amplification électrique. Ces tourne-disques sont très différents des tourne-disques modernes, mais les disques qui stockent le son et les aiguilles qui le transforment en musique audible fonctionnent essentiellement de la même manière.
Sommaire de cette fiche pratique
Définitions
« Gramophone » est un terme qui peut être utilisé pour désigner n’importe quel tourne-disque (tout comme le terme « phonographe »). En général, cependant, le terme est utilisé pour désigner les premiers tourne-disques qui étaient pilotés par des moyens mécaniques et reproduisaient le son sans amplification électrique. Ces tourne-disques sont très différents des tourne-disques modernes, mais les disques qui stockent le son et les aiguilles qui le transforment en musique audible fonctionnent essentiellement de la même manière.
Le disque du Gramophone
A l’exception des premiers disques cylindriques inventés par Thomas Edison, tous les disques utilisent un sillon spiralé pour stocker le son. Les premiers disques n’avaient des enregistrements que d’un seul côté, mais les entreprises ont rapidement commencé à imprimer des disques recto verso qui pouvaient stocker deux fois plus de son. Le groove du disque a l’air droit et uniforme, mais il y a en fait de petits tourbillons de va-et-vient qui stockent le son.
Le joueur de Gramophone
Comme les autres tourne-disques, les gramophones lisent le son à l’aide d’une petite aiguille qui s’insère dans le sillon du disque. Cette aiguille est attachée à un diaphragme, qui à son tour est attaché à une corne. Le disque est tourné à une vitesse assez constante par un moteur à ressort. Au fur et à mesure que le disque tourne, les rainures font vibrer l’aiguille d’avant en arrière. Ces vibrations sont transmises au diaphragme, qui lui-même vibre, créant ainsi un son. Ce son est ensuite acheminé hors du klaxon vers la pièce.
Premiers enregistrements
Les premiers enregistrements ont été faits par des machines qui fonctionnaient comme des gramophones, mais à l’envers. Les musiciens jouaient dans le cor, ce qui canalisaient le son dans le diaphragme. Le diaphragme transférerait les vibrations sonores dans une aiguille. L’aiguille elle-même reposait sur un disque surmonté d’une couche de cire. Au fur et à mesure que l’aiguille se tortillait, elle inscrivait le son dans la cire. Enfin, le disque serait traité pour fixer l’enregistrement afin qu’il puisse être lu.
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