Les différences de classe à l’époque victorienne étaient clairement marquées et relativement immobiles. Tandis que les différences de classe moderne sont basées principalement sur la quantité d’argent qu’une personne gagne, les différences de classe victorienne étaient basées sur ce que vous faisiez pour gagner votre vie, s’il y a lieu. La plupart des gens sont nés dans une classe et n’en sont jamais sortis ; s’ils l’ont fait, ils n’ont changé que d’un seul degré : du haut vers le milieu supérieur ou du haut vers le milieu inférieur, par exemple. Les femmes se voyaient attribuer la classe de leurs maris lorsqu’elles se mariaient, de sorte qu’il y avait des restrictions sociales contre le fait de se marier « en dessous de soi-même ».
Classe supérieure
Les classes supérieures britanniques de l’époque victorienne étaient titrées et généralement très riches. Les Américains de l’époque victorienne étaient tout simplement riches, gagnant généralement de l’argent dans la fabrication, le transport ou les investissements. La classe supérieure n’a pas fonctionné — ils ont régné. Les politiciens, les magistrats, les prêtres et les propriétaires d’entreprises étaient des membres typiques de la classe supérieure. Les femmes de la classe supérieure n’ont jamais travaillé, même à la maison, mais ont plutôt passé leurs journées à socialiser ou à faire du shopping. Ils employaient de nombreux membres de la classe ouvrière comme domestiques.
Les jeunes hommes de la classe supérieure ont été éduqués à la maison par des tuteurs, puis envoyés à Eton, Harrow ou une école de stature équivalente, et plus tard à Oxford ou Cambridge. Les jeunes hommes américains sont allés à Harvard ou à Yale pour aller à l’université, ou ont été envoyés en Angleterre pour aller à Oxford. Les jeunes femmes sont éduquées dans les arts et les langues, mais on leur enseigne rarement les matières plus exigeantes comme les mathématiques supérieures. Ils ont peut-être été envoyés dans des écoles ou des pensionnats pour perfectionner leur français, mais jamais à l’université. On s’attendait à ce qu’elles deviennent des épouses et des mères, et non des leaders.
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