Le décès d’un parent ou d’un être cher est toujours émotionnellement difficile. Cependant, le règlement de leurs testaments peut être encore plus compliqué, tant sur le plan émotionnel que juridique. La contestation d’un testament à l’étranger ne fait qu’ajouter à la difficulté émotionnelle et au stress. Heureusement, l’Irlande a des lois qui rendent très claires les obligations légales entourant les dernières volontés de ses citoyens, et le processus d’appel d’un testament très simple et direct. C’est peut-être difficile sur le plan émotionnel, mais les testaments peuvent être réglés équitablement.

Prouver que vous avez le droit de contester le testament. En Irlande, la possibilité de contester se limite presque exclusivement aux membres directs de la famille du défunt, aux conjoints ou aux enfants. Les contestations du testament d’une autre partie ne sont pas autorisées par la loi. Rassemblez des documents tels que des certificats de mariage et des certificats de naissance pour démontrer que vous êtes directement lié à la personne décédée, ou le tribunal ne permettra pas votre contestation.

Pour les conjoints, assurez-vous que les tribunaux irlandais savent que vous étiez marié à la personne décédée. En droit irlandais, le conjoint du défunt a automatiquement droit à un tiers de la succession. Le conjoint n’a pas besoin de présenter une requête au tribunal ou d’exercer toute autre activité juridique s’il existe un enregistrement du mariage dans le système irlandais. Il vous sera accordé automatiquement. Toutefois, vous devrez recouvrer votre part de la succession dans les six ans suivant la date du décès ou toute réclamation légale au testament peut être refusée par les tribunaux.

Pour les enfants, montrez que vous êtes l’enfant du défunt. Le processus d’appel pour les enfants est beaucoup plus difficile. Vous devrez agir rapidement ; les enfants n’ont que six mois à compter de la date du décès pour présenter une demande de règlement. L’enfant doit démontrer aux tribunaux que le défunt n’a pas subvenu à ses besoins, que ce soit dans le testament ou de son vivant, et qu’il a donc droit à une part du testament. Cette part est déterminée par les tribunaux.

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