La dopamine est un neurotransmetteur qui affecte l’activité cérébrale et le système cardiovasculaire. L’exposition aux polychlorobiphényles (PCB), une forme de pollution chimique toxique, peut réduire la dopamine à des niveaux dangereusement bas, affectant le système cardiovasculaire. L’augmentation des niveaux de dopamine peut élever la tension artérielle et la fréquence cardiaque. La dopamine à des niveaux élevés est liée à l’excitabilité et à la vigilance. Des niveaux de dopamine excessivement élevés ont été associés à la psychose, de sorte que la réduction des niveaux de dopamine peut être un résultat souhaitable dans le traitement des personnes atteintes de troubles mentaux. Les moyens naturels de réduire les niveaux de dopamine comprennent une alimentation équilibrée. Une intervention médicale sous forme de traitements sur ordonnance peut également être nécessaire.
Mangez un équilibre de glucides et de protéines. Les glucides peuvent abaisser les niveaux de dopamine pour induire un état d’esprit plus calme. Les aliments riches en protéines comme les viandes maigres et les produits laitiers sans gras absorbent les acides aminés qui régulent la production de dopamine dans le cerveau.
Mangez des légumes verts riches en vitamines pour libérer des endorphines qui contrebalancent les glucides.
Soyez conscient des facteurs externes qui réduisent la dopamine, comme le stress chronique, les carences en vitamine B, les faibles niveaux de fer et de zinc, les carences en œstrogènes (chez les femmes), la consommation excessive d’alcool et de narcotiques et la grippe.
Sachez que les stimulants illégaux, comme les amphétamines, peuvent stimuler la production de dopamine et aggraver les effets de la dopamine excessive.
Consultez un médecin qui peut prescrire un bloqueur ou un inhibiteur de dopamine sous forme de pilule ou d’injection. Ces bloqueurs peuvent durer jusqu’à six semaines entre les doses et sont conçus pour compléter les thérapies pour les troubles médicaux, y compris la psychose, l’hyperactivité et les troubles cardiovasculaires.
Laisser un commentaire