Un couteau papillon est un couteau pliant avec deux poignées qui se balancent librement à partir de la base de la lame. Il est composé de trois pièces principales : les deux poignées et la lame. Lorsqu’elle est fermée, la lame est complètement recouverte. Lorsqu’elles sont ouvertes, les deux poignées pivotent vers le bas pour former une seule poignée vers le couteau.
Qu’est-ce qu’un couteau papillon ?
Un couteau papillon est un couteau pliant avec deux poignées qui se balancent librement à partir de la base de la lame. Il est composé de trois pièces principales : les deux poignées et la lame. Lorsqu’elle est fermée, la lame est complètement recouverte. Lorsqu’elles sont ouvertes, les deux poignées pivotent vers le bas pour former une seule poignée vers le couteau.
Comment ça marche ?
Contrairement à la plupart des couteaux, le couteau papillon n’a pas de grande pièce de métal (soie) qui s’étend dans la poignée. Au lieu de cela, la base du couteau a une petite plaque d’acier. Les deux poignées sont fixées ici côte à côte. Une petite épingle, une par poignée, est utilisée pour les attacher. Ces poignées tournent autour de ce point sur le même plan que la lame. Le manche tourné vers le bord de la lame est appelé « manche à mordre », et celui tourné vers l’arrière de la lame est appelé « manche de sécurité ». Lorsqu’elles sont fermées, elles enferment la lame. Lorsqu’elle est ouverte, une petite bosse de métal entre les poignées, connue sous le nom de « tang pin », empêche les poignées de pivoter de plus de 90 degrés. Les poignées peuvent être fabriquées soit par une construction de type sandwich, soit par une construction de type canal. Bien que le style sandwich-style, qui implique des couches de métal et de bois, permet un plus grand niveau d’ajustement à l’étanchéité des goupilles, le style de canal est un peu plus fort. Un loquet d’une sorte quelconque empêche normalement la lame de s’ouvrir. Celles-ci peuvent être chargées par ressort. Occasionnellement, des aimants sont utilisés à la place. La lame est unilatérale, s’effile vers une pointe et comporte souvent un « swedge » ou un « faux bord » sur le dos.
Utilisations et historique
Le couteau papillon est plus traditionnellement connu sous le nom de balisong. Dans une version des événements, il s’agit d’une arme/outil philippin qui remonte à l’an 800 après J.-C. et dont on pense qu’il a été couramment utilisé. Le balisong a été documenté pour la première fois dans le livre français « Le Perret » en 1710. Il est probablement devenu populaire dans la culture occidentale à travers l’Espagne. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les troupes américaines ont ramassé un certain nombre de ces couteaux au fur et à mesure qu’ils traversaient les îles. Cette histoire est quelque peu débattue. Bien que le balisong ait d’abord été utilisé comme outil, il a également été utilisé pour les duels et est une arme dans les arts martiaux philippins tels que l’Eskrima. Or, ces couteaux sont illégaux dans de nombreux pays occidentaux et sont classés comme « couteaux à gravité » ou « switchblades ». Outre leur utilisation comme armes, certains utilisateurs s’entraînent à retourner les couteaux (aussi appelés « manipulations ») comme forme d’art.
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