Un domaine viager est un type de domaine qui se mesure par la durée de vie du locataire viager. Une fois que le locataire décède (ou qu’un état préétabli survient), la possession de la succession revient à un autre individu. Les locataires viagers ont à la fois des droits et des devoirs en ce qui concerne les biens du domaine viager. Ceux qui ont des questions précises sur la succession viagère devraient communiquer avec un avocat.
Sommaire de cette fiche pratique
Droits généraux
Un locataire viager a le droit d’utiliser et de tirer profit de l’utilisation du domaine viager. Cependant, il n’a pas la propriété complète, en ce sens que s’il le désire, il peut détruire la valeur de la propriété. Le locataire viager ne peut agir d’une manière qui porte atteinte aux intérêts de la personne qui recevra la succession suivante. S’il le fait, le suivant (qui détient ce qu’on appelle un reste ou un intérêt réversible) peut poursuivre le locataire viager en dommages-intérêts ou l’enjoindre de prendre les mesures qui s’imposent.
Per Autre Vie
L’instrument qui accorde au locataire viager un domaine viager peut interdire au locataire viager de transférer son droit viager. Si ce n’est pas le cas, le locataire viager sera libre de transférer une partie de son domaine viager à un autre. Toutefois, le bénéficiaire recevra un domaine viager qui est toujours mesuré par la durée de vie du locataire viager d’origine. Lorsque le locataire d’origine décède, même si le bénéficiaire du transfert est toujours vivant, la succession reviendra au titulaire du reliquat ou de la réversion.
Déchets positifs
Un locataire viager commet un déchet affirmatif, également appelé déchet volontaire, lorsqu’il consomme les ressources naturelles présentes sur le domaine viager. Les locataires à vie ne peuvent pas commettre de gaspillage affirmatif, sauf dans certaines situations : lorsque l’utilisation du bien avant la location viagère était destinée à l’exploitation de ces ressources (par exemple, un bien contenant un puits de pétrole à longue production) ; lorsque le locataire viager n’utilise que les sommes nécessaires à l’entretien du terrain ; lorsque l’instrument accordant l’état viager permet expressément au locataire d’exploiter les ressources ; et lorsque la seule utilisation appropriée du terrain est l’exploitation des ressources (par exemple, si la subvention de domaine viager est destinée à une mine).)
Déchets d’amélioration
Un locataire viager commet des déchets d’amélioration lorsqu’il agit d’une manière qui augmente la valeur économique de la propriété. Historiquement, un locataire viager pourrait être tenu responsable même pour les déchets d’amélioration, mais la loi moderne permet généralement à un locataire viager de faire tout ce qui profite à la propriété, même si cet avantage nécessite des dommages accidentels à la propriété (par exemple, démolir un vieux bâtiment pour en construire un nouveau).) Toutefois, le déchet amélioré ne doit pas diminuer la valeur marchande du reste ou de l’intérêt réversible, et le détenteur du reste ou de l’intérêt réversible ne doit pas s’opposer à l’action.
Déchets permissifs
Il y a gaspillage permissif lorsque le locataire n’entretient pas le terrain et que la propriété tombe dans un état de délabrement physique ou financier. Un locataire a le devoir de ne pas commettre de déchets permissifs. Il doit préserver le terrain et toutes les structures qui s’y trouvent dans un état de réparation décent, et doit payer des intérêts sur toute hypothèque sur le terrain (le reste ou le détenteur du droit de réversion doit habituellement payer le principal.) Le locataire viager sera aussi habituellement responsable des impôts ou des évaluations pour les améliorations publiques. Toutefois, le locataire viager n’a pas l’obligation d’améliorer la propriété, et il n’est pas non plus légalement obligé de l’assurer.
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