Les calculs rénaux peuvent être très douloureux, nécessitant parfois une intervention chirurgicale ou radiologique pour les enlever. Environ 10 à 20 % de tous les calculs rénaux nécessitent une intervention chirurgicale, et le rétablissement d’une femme après l’opération varie en fonction de la procédure utilisée.

Néphrolithotomie percutanée (PCNL)

Les chirurgiens utilisent une procédure PCNL si un calcul rénal est grand ou dans un endroit gênant. Il s’agit d’une opération mineure et, par conséquent, le temps de récupération est plus court que la chirurgie ouverte. Après l’opération, il faut éviter de soulever ou de tendre. Les femmes qui subissent cette procédure doivent également continuer à se déplacer pour éviter la thrombose veineuse profonde (TVP) dans leurs jambes. Certains médecins conseillent à leurs patients de rester à la maison jusqu’à quatre semaines.

Uretéroscopie

Les chirurgiens utilisent une uretéroscopie si un calcul rénal est coincé dans un tube (uretère). Avec cette procédure, une patiente peut recevoir une anesthésie locale ou générale, ce qui peut affecter son rétablissement. Avec une anesthésie générale, la convalescence prend plus de temps.

Lithotripsie par ondes de choc électrique (ESWL)

Ce type de procédure est le plus commun, utilisant une machine pour briser les calculs rénaux en tailles passables afin qu’ils puissent être évacués dans l’urine. ESWL utilise une anesthésie locale plutôt qu’une anesthésie générale, ce qui signifie qu’il faut plusieurs heures pour se sentir de retour dans la zone touchée, mais les femmes qui ont subi cette intervention sont rentrées chez elles le même jour.

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